mercredi 4 mai 2011

Decallage horreur

Journee du 4 Mai :


4h00 du matin, les Phukets ne trouvent plus le sommeil, la journee commence par une mague justeuse en guise de petit dejeuner.
A 6h, notre energie nous pousse a sortir de notre taniere pour decouvrir notre quartier. Nous residons dans Saphan Kwai, zone residentielle preservee du tourisme. L'eveil des ces rues est un spectacle priviligie ou chaque vendeur ambulant prepare son stand et commence a cuisiner.


Nous nous enfoncons dans les ruelles a la recherche d'un encas. Les odeurs de poulet grille ecoeur nos narrines de vegetariennes. Une petite etale degageant une delicieuse odeur de cafe attire notre attention. Nous prenons place sur une petite table en fer et nous lions d'amitie avec la patronne. Chutima nous sert un cafe au lait concentre sucre, chaud pour Gogo, glace pour Kelly. Decouverte qui eveille nos papilles de bon matin! L'echange est folklorique, nous parlons le franco-anglo-thai et parvenons a comprendre les noms et ages de nos interlocuteurs. La patronne nous innonde de compliments... enfin quelq'un reconnait nos talents de miss france! Entre nous, ce voayge s'annonce delicieux!!!
Nous apprenons avec malice nos premiers mots, le Thai semble difficle, mais rien est impossible pour les Phukets, elles reviendront bilingues ou pas...
La chaleure est ecrasante, nous suons comme deux canards laque des 6h30 du mat, mais restons belles aux yeux de notre nouvelle amie. Avides de gratifications, nous lui donnons rendez-vous le lendemain!!!


Il est maintenant 8h30, apres avoir ecris quelques lignes du blog, sous un soleil de plomb, nous allons plonger nos corps degoulinant dans la piscine a 25 degres.

Nous passons l'apres midi a nous abrutir dans le plus grand centre commercial de la capitale, afin de trouver un appareil photo. Durant des heures nous trainons les pieds de boutiques en boutiques et notre manque de sommeil parvient a esquinter serieusement notre fonctionnement psychique. Fabien, photographe professionnel, est cense nous rejoindre pour nous conseiller sur les produits, nous l'attendons desesperemment et decidons de sortir jusqu'a son arrivee.
Lorsque le telephone sonne nous comprenons rapidement qu'il ne viendra pas. Cette nouvelle nous plonge dans un etat de desaroi, nous nous assayons sur les marches comme deux ames en peine, perdues, abandonnees et sans reperts. Epuisees, le poid de la chaleur nous acheve, notre seule reaction est un fou rire interminable face au ridicule de la situation et a la pitie mutuelle ressentit. 
Nous decidons alors de rentrer, bredouilles.



2 commentaires:

Perrine Flavigny a dit…

aie aie aie premières photos, ça y est on vous imagine vraiment la bas !! allez faites moi une ptite place autour de la table en fer !!

ktyayani a dit…

ouah vous avez l'air de bien vous eclatez, putain, je penses a vous tous les jours bandes de grosses... trop stylé vos articles, serieux vous vous mettez a fond
thank you